La chaleur à Bruxelles, un vrai défi urbain
Bruxelles-Environnement a fait cartographier toute la Région. Un travail qui montre l’importance des espaces verts. De même que le déséquilibre entre l’Est de la ville et son centre, particulièrement exposé à la chaleur estivale.
Les grandes villes souffrent d’un phénomène bien connu, appelé « îlot de chaleur ». Bruxelles n’échappe pas à la règle (Le Soir du 29 juin). En été, comme dans les autres métropoles, les espaces minéraux (béton, macadam, pierre…) absorbent la chaleur au lieu de la réverbérer et la restituent pendant la nuit. Les activités humaines (chaleur des moteurs, équipements frigorifiques et de conditionnement d’air…) ajoutent quelques dixièmes de degrés. Pendant les périodes les plus chaudes, la température nocturne peut ainsi dépasser de 10ºC celle que l’on mesure en zone rurale ou dans les forêts. Désormais, on dispose d’une cartographie précise des lieux les plus chauds et des zones les plus rafraîchissantes de la Région.
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