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Conception architecturale et biodiversité

mardi 21 août 2018, par Pavel Kunysz

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Communication de Pavel Kunysz dans le cadre du séminaire FAAST, Bruxelles, 21 août 2018.

Le développement d’espaces verts et de projets urbains conscients des enjeux écologiques actuels fait partie depuis longtemps des principes défendus par urbAgora pour permettre un urbanisme de qualité à Liège et ailleurs. L’étude « la ville en herbe » ou le développement du parcours de randonnée Liège Orbitale témoignent de cette ambition. Pour autant, quelles sont les conditions à rassembler pour qu’un projet soit respectueux de son environnement naturel, des espèces en présences, bref, de la biodiversité ? Tous les concepteurs se revendiquant « verts » n’ont assurément pas des attitudes de même qualité de ce point de vue, mais comment alors les discriminer, les analyser, pour mieux les comprendre ?

1. Biodiversité : de quoi parle-t-on exactement ?

Selon les écologues, la biodiversité comprendrait les « Espèces, milieux et fonctions écologiques naturelles normalement exprimés, autoentretenus (autocatalytiques) et correspondant aux potentialité de la zone biogéographique considérée, et non d’une variété qui pourrait être, comme dans un zoo artificiellement et coûteusement rassemblés, cultivés et entretenus par l’Homme dans ou sur des structures bâties par lui. » (Introduire la biodiversité dans la construction et l’urbanisme, Wikilivre)

Dès lors, un projet eco-conscient se devra, avant toute chose d’étudier et de se construire autour des caractéristiques de la zone biogéographique dans laquelle il s’implante.

De façon plus précise, trois types de biodiversités peuvent être considérées dans une opération soucieuse de cet aspect :
-La diversité génétique, qui consiste à assurer la sauvegarde d’un pool diversifié de caractéristiques et leurs possibilités d’échanges
-la diversité spécifique, qui consiste à assurer la sauvegarde d’une variété d’espèces et de sous-espèces
-La diversité écosystémique, qui consiste à assurer la variété d’écosystèmes aux différentes échelles et leurs interconnexions

Au départ de ces trois aspects, il s’agit donc bien de veiller à respecter des évolutions reposant sur des équilibres complexes, dont notre compréhension n’est que partielle , et non pas de mettre sous cloche des espèces. Ainsi, certaines espèces sont vouées à disparaitre naturellement tandis que d’autres évoluent petit à petit, démontrant des caractéristiques nouvelles, par exemple.

Pour autant, des écologues de plus en plus nombreux constatent un recul massif et exponentiel des différents indicateurs de la biodiversité qui est tout à fait hors norme. Ses causes principales seraient humaines, et peuvent être catégorisees comme suit :
-La destruction des habitats naturels au profit de la construction/artificialisation des sols
-Les pollutions diverses (aérienne, aquatique, terrestre, lumineuse, sonore, ...)
-La fragmentation écologiques des espaces par les infrastructures
-Le dérangement général de la faune par l’activité humaine

Par là, c’est tout l’impact sur notre environnement naturel, et donc la responsabilité des aménagements de l’espace -et de leurs concepteurs- qui se donne à voir. Quels sont alors les moyens à leur disposition pour agir dans le sens de la sauvegarde, et non plus de la destruction de ce patrimoine naturel ?

2. Quel(s) rôle(s) pour la conception architecturale, et le concepteur ?

a) Trois axes

Le « Guide la biodiversité et du bâti » identifie 3 axes d’action pour un aménagement des espaces soucieux de la biodiversité :

 La végétalisation

Qui consiste à planter à l’aide de gazon et/ou d’autres espècese végétales les toitures, terrasses, façades, surfaces périphériques, ... En somme il s’agit de compenser en quelque sorte la minéralisation des sols pour t accueillir certaines espèces (vers, insectes, champignons, bactéries, plantes sauvages...) tout en retenant les eaux de façon à limiter l’emportement des sols (et donc la destruction d’espèces).

 L’aménagement d’espaces d’accueil de la faune, de la flore et des insectes

Qui consiste à créer des niches écologiques dans et autour des projets propices à abriter une variété d’espèces. Celles-ci peuvent être créées aux abords du projet, que ce soit par la plantation de hautes tiges ou l’installation de structures préfabriquées appropriables par la faune, la flore ou les insectes. Mais les éléments architecturaux et techniques de base peuvent également abriter ces espèces, que ce soit via les caves, vides ventilés, quais, toiture, sous-toiture, ou façade notamment.
Il s’agit cependant pour les concepteurs de savoir gérer les besoins spécifiques des espèces animales et végétales accueillies, leurs interactions (bénéfiques ou non) avec les installations techniques souvent situés dans ces espaces (isolation, couches imperméables, ventilations, réseau d’eau, d’égouttage, de chauffage, d’électricité, ...). Une attention fine doit donc être portée à l’obstruction (déjection, nids, ...) et à l’espace utilisé à ces fins d’accueil et ses caractéristiques sonores et thermiques. De même, les interactions humains/milieu naturel doivent être considérées à leur juste hauteur. Si les occupants finissent par les chasser pour ne pas être incommodés par des cris, odeurs ou mouvements, l’énergie déployée pour un développement ecoconscient aura été vaine.

 La minimisation des dangers et des impacts de la construction

Qui consiste à empêcher ou compenser le coût écologique de la construction et de sa vie. Il s’agit tant de se reposer sur des énergies et ressources renouvelables (panneaux solaires, récupération d’eaux de pluie, ...) que de proscrire ou limiter le rejet de déchets (assainissement des eaux usées, isolation, réseau de chaleur en circuit fermé, ...) et globalement de restreindre tout les types de pollutions liées au bâtiment (y compris sonore, lumineuse, lié à la production et au transport des matériaux de construction). Il s’agit également de concevoir des implantations conscientes des écosystèmes en présence sur les sites concernées. Une connaissance suffisante de ceux-ci pourra permettre d’opter pour des solutions formelles et d’implantation non destructrices de ceux-ci, quitte à ce que cette solution revienne à un refus de construire si la situation l’impose. Plus encore, une réflexion suffisamment poussée sur ces points peut permettre d’amener les populations locales à tendre vers des modes de vie plus soucieux de ces écosystèmes. Ainsi, en decryptant le site et en passant ce savoir, le concepteur peut permettre une prolongation de ses intentions. Des exemples, parmi bien d’autres, peuvent concerner la conscientisation au respect des insectes, de la faune et de la flore ou l’éducation au soin de ces milieux et aux espèces endogènes.

Si des grands principes existent donc pour une conception architecturale consciente de l’urgence de la sauvegarde de la biodiversité, pourquoi ceux-ci ne se traduisent-ils pas systématiquement dans les projets qui s’en revendiquent ?

b) Conception techniciste et conception contextualisée

On trouve un certains nombre de projets, réels ou imaginés, parfois de très grande ampleur, et de guides techniques prônant une approche forte de la biodiversité en proposant des solutions spécifiques, souvent très coûteuses et de hautes technicité et à grand renforts d’image de synthèse tout droit tirée de films de sciences-fiction. Je qualifierai celles-ci , au moins pour une partie, d’attitude techniciste de conception dans leur rapport à la biodiversité.
Une figure emblématique de ce type d’attitude se voit sans doute dans le très médiatique architecte Vincent Callebaut et ses différents projets, plus ou moins fantasmés, dont la consécration se voit dans les Lilypads. Ce concept de bâteaux-îles est pensé comme la production d’ « ecopolis pour les réfugiés climatiques » pouvant accueillir 50 000 habitants autour d’un système auto-suffisant censément respectueux de l’environnement et propice au développement de la biodiversité via un lagon artificiel central d’eau purifiée. Ces méga-structures produiraient oxygène et électricité, recycleraient le CO2, épureraient les eaux, seraient dotées de niches écologiques sous la coque, … Là se donne à voir un concept central à la pensée de Callebaut, que l’on retrouve sous différentes formes chez d’autres cocnepteurs et penseurs : l’archibiotic. Cette contraction de “architecture”, “biotechnologies” et de “TIC” (technologies de l’information et de la communication) se veut représenter une pensée “verte” et radicalement futuriste de l’architecture et viserait à développer de nouveaux modes de vie écologiques sur base de mélanges optimaux de solutions technologiques existantes ou à développer. Ainsi, de tels projets se dotent systématiquement d’un vocabulaire écologiste (ecopolis) et se revendiquent souvent d’inspirations bio-mimétiques (le nénuphar géant d’Amazonie Victoria Regia dans le cas des Lilypads).

On peut reconnaître là une attitude audacieuse et novatrice qui se veut capable de répondre à la hauteur des enjeux sociaux et écologiques actuels, dont la prise en compte des vagues de réfugiés climatiques. Pour autant, rien n’est dit ni de l’implantation particulière de ces structures en rapport aux caractéristiques biogéographiques (nomades, mais dans quels océans ? Pour quels climats ? Quelles espèces végétales et animales ?) , ni des rapports entre activités humaines et animales ou végétales, ni encore des modes de financement particuliers qui permettraient de viabiliser un tel modèle. Ainsi, des réfugiés climatiques, par essence, seraient appauvris, en situation de précarité plus ou moins forte. Quel organisme, qu’il soit privé ou public, serait-il prêt et capable de financer de tels projets pour ces populations désoeuvrées ? A bien y réfléchir, le systéme économique actuel amèneraient plutôt les populations les plus aisées à peupler ces mégalopoles autarciques pour mieux laisser aux (bien plus nombreux) plus démunis un parc immobilier délaissé, vétuste, inadapté à répondre aux enjeux que ces îles cherchent à relever de façon si véhémente, au risque même de voir ces enjeux s’aggraver en laissant sur le carreau les 99 % de la population.
On retrouve de tels constats à l‘analyse d’autres projets phares, construits ou non, de Callebaut et son équipe, tel le Gate Heliopolis, au Caire. Ce complexe “intelligent et multifonction” se veut une combinaison d’arbres et de bâtiments censé transformer la ville en un écosystème dense, vert et hyperconnecté. Il vise aussi à être un genre de manifeste pour mettre en avant la préservation écologique pour les générations à venir. Il en va encore de même pour l’”Agora Garden”, ce complexe d’appartements de Taipei, consturit en 2018, qui propose, une fois de plus, de “révolutionner” les modes de vie via une variété de solution techniques et esthétiques. Pour autant, là encore, l’analyse révèle des conceptions d’espaces de vie étonnement banals et des visuels de présentation véritablement contradictoires. Ainsi, parmi les images phares du projet “Agora Garden”, on retrouve, entre autres, une vaste piscine intérieure, suspendue au 24ème étage, et une voiture de course trônant au beau milieu d’un salon. On conçoit bien là toute la distance entre le discours qui soutiennent une dépense d’énergies et de moyens gigantesque dans des solutions techniques hors-normes et les changements réels, mineurs ou contre-productifs que peuvent avoir ces solutions sur les écosystèmes en présence. Comment, en effet, justifier la mise en avant de l’objet automobile, ou le financement de cette coûteuse piscine (en terme de moyens financiers, mais aussi énergiques et de ressources naturels, tant pour sa construction que son entretien) dans le contexte d’un projet proclamant protéger la planète et ses biosphères ?
Ces projets, et bien d’autres encore, sont donc hautement techniques, dédiés à une minorité très dotée qui constituent des îlots fermés, autonomes, véritablement coupés de leur environnement direct (tant esthétiquement que socialement et écologiquement) et se situent donc en contradiction directe avec l’idée même des éco-systèmes interconnectés et de la biodiversité

Ce sont des attitudes que l’on retrouve à de plus petites échelles aussi, qui sont notamment plébiscitée par certaines lois d’orientation écologique, en belgique ou ailleurs. On peut ainsi interroger les législations basées exclusivement sur l’isolation des bâtiments ou la technique et les normes en général, poussant les concepteurs à utiliser des matériaux et techniques de très hautes performance, mais souvent très polluants à produire, dont la relation directe avec les écosystèmes reste peuplée d’inconnues. Ainsi, le vieillissement et le traitement en fin de vie de ces bâtiments et de leurs composants amènent à poser bien des questions. Il n‘y a pas si longtemps, l’amiante se voulait un produit de construction idéal, en particuliers pour ses capacités d’isolation, et constitue pourtant aujourd’hui la hantise de tout un secteur. Aujourd’hui, les problématiques que soulèvent les nouvelles pratiques, dont le plébiscite de l’habitat passif devraient sans doute être plus souvent abordées, en particuleirs quand l’on sait les potentielles complications respiratoires et allergiques que provoquent déjà les systèmes de ventilation contrôlés dont sont nécessairement dotées ces infrastructures.

Qui plus est, ce type de projet interroge rarement les modes de vie actuels et leur (in)adéquation avec les enjeux écologiques auquel nous devons faire face. Une villa 4 façades périurbaine passive demeure un contre-sens total. Vouloir permettre le développement des écosystèmes autour de soi tout en tuant les araignées ou autres “nuisibles’ qui visitent sa maison est paradoxal. Certes, les innovations technologiques sur lesquelles se reposent ces projets peuvent être utiles et répondent de façon assez capable à la minimisation de l’impact de la construction et de sa vie, mais elle se confronte mal à l’accueil d’espèces, et n’a souvent pour végétalisation que des sols inertes, des pelouses sans vie ou presque.

En contraste, on peut identifier une attitude que je nommerai contextualisée quant à la conception de nos milieux de vie en rapport à la biodiversité. Il s’agit alors de revenir au concept de biodiversité tel qu’il a été exposé, c’est à dire comprendre les caractéristiques biogéographiques en présence et ce, à différentes échelles.

 A l’échelle de l’agglomération : quels sont les « couloirs verts » et les grands espaces verts marquants ? Comment sont-ils reliés entre eux (si ils le sont) ? Comment se situe la parcelle par rapport à ce réseau, ce maillage et quel rôle peut-elle jouer ? Quelles espèces sont particulièrement menacées ou ont disparu dans la région ? Quelles espèce sont endogènes, quelles espèces sont envahissantes et destructrices ?

 A l’échelle du quartier : quels espaces peuvent-ils être reliés (ou risquent d’être dissociés) par une implantation réfléchie du bâtiment ? Au contraire, y a-t-il nécessité/opportunité de créer un mini-sanctuaire écologique ? Pour quelles espèces végétales, animales (oiseaux, rongeurs, petits et moyens mammifères, batraciens, ...), d’insectes, de micro-organismes en présence ou qui pourraient y être (ré)attirés ?

 A l’échelle de la parcelle : quelles espèces sont-elles en présence ? Quelles sont leurs caractéristiques et leurs besoins ? pourquoi sont-elles là ? Y a-t-il des opportunités sur lesquelles s’appuyer, à ne surtout pas détruire ou à redécouvrir (mare, ruisseau, pâture, buissons, bosquets, ...) ?

 A l’échelle du bâtiment à concevoir : comment le programme (et ses futurs habitants) interagit-il avec les différents biotopes et son environnement en général ? Qu’implique-t-il en termes de type d’activités (pollutions diverses, déchets rejetés), de volume et de fréquence d’activités (aux différentes heures de la journée et de la nuit, aux différentes saisons), et comment ces différentes activités se localisent-elles ? (pause déjeuner ou souper en terrasse, illumination des chambres le soir, ...) ? Surtout, où et quand se situent les zones d’inactivité, quelles sont leur durée et comment répondent-elles ou non aux besoin des espèces en présence ou à attirer ?
Qu’implique le programme en terme de population (type, sensibilité écologique , volume et type de déplacements) ? Peut-on/faut-il imaginer les sensibiliser aux enjeux écologiques qui sont recherchés pour garantir de meilleures interactions ? Voire intégrer des sous-programmes susceptible de dévleopper les éoystèmes grâce à l’intervention humaine ? (apiculture, pisciculture, ...) Ou vaut-il mieux limiter les interactions pour ne pas risquer les nuisances des uns envers les autres ?

Comment enfin la conception des volumes, les traitement de surface, les matériaux et techniques utilisées entrainent-elles végétalisation, créations d’espaces refuges et minimisation des impacts de la construction ? Comment des types de végétalisation, d’espaces refuge et de minimisation interagissent-elle avec les espèces en présence ou à attirer ? Sont-ils adapatés entre eux ? Les rejets de chaleur et d’humidité, les ventilations, tels qu’ils sont situés, peuvent-ils être un appui ou un élément nocif pour ces espèces ? Les niches créées sont-elles adaptées à la fixation et aux tailles des espèces à protéger ? Y a-t-il des garanties à prendre pour favoriser certaines espèces endogènes par rapport à d’autres, invasives ?

Mais encore : la conception des espaces peut-elle contribuer à faire évoluer les modes de vie vers une utilisation plus raisonnée du territoire, en plus grande interaction bénéfique et consciente avec les écosystèmes ? Y existe-il des lieux d’échanges entre les espèces ? Reste-on centré sur des idéologies individualistes et plus productrices de déchets ou se permet-on de tendre vers des éléments de structures plus communautarisée, prompte à minimiser les impacts communs ? A l’inverse, cette conception pourrait-elle s’orienter autour et être alimentée par des structures ou des activités locales humaines, animales ou végétales ? (chasse, refuges, observatoires d’espèces, cultures, élevage ...)

Ces questions ne sont bien entendu pas exhaustives, et chacune pourrait faire l’objet d’un article à part entière. Ensemble, pourtant, elles définissent un champs d’attention pour les concepteurs -et les personnes souhaitant analyser un projet- qui ne porte plus sur l’esthétique et la technique “verte”, mais bien sur la façon dont un projet interagit réellement avec son environnement au sens large. Bien des projets, et bien des concepteurs, témoignent déjà d’attention partielle à ces points de vue. Parm les exemples notables, il peut être notamment mentionné les travaux des français Chartier Dalix à Boulogne Billancourt ou Ivry-sur-Seine, qui témoignent bien de cette volonté de penser le projet non pas comme une entité autonome et “verte” mais bien comme un élément s’intégrant dans un écosystème existant à redynamiser, et au moins à ne pas impacter négativement.

Pour autant, il est à noter que ces conceptions “techniciste” et “contextualisée” ne sont pas strictement opposées. Ainsi, le développement de solutions techniques et esthétiques peut bien entendu servir les questionnements ci-avant. Et même les parangons de la pensée techniciste, à l’image de Callebaut, ne sont pas entièrement dépourvus de cs questionnements, et sont entourés de spécialistes mandatés pour les étudier. Pour autant, il apparait évident que selon l’orientation prise, le sens que l’on donne à la vocation écologiste d’une conception architecturale, les solutions spatiales et matérielles développées ne seront pas le smêmes, et n’auront pas le même impact sur les écosystèmes existants et à venir. Plutôt que de penser un futur “vert” nécessairement ultra-technologique, bien souvent au détriment d’une mixité sociale fertile, gageons qu’il serait temps de mettre plus en avant d’autres initiatives, et de faire communiquer ces perspectives pour que constructions et écosystèmes puissent, un jour, ne plus être antagonistes.

Cette publication est éditée grâce au soutien du ministère de la culture, secteur de l'Education permanente

 

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