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L'observatoire de Cointe : un patrimoine en danger

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Antoine Baudry est historien de l’art, archéologue et doctorant à l’Université de Liège. Margot Minette est historienne de l’art, spécialisée en conservation-restauration du patrimoine culturel immobilier. Ils sont tous deux actifs au sein du groupe de travail Patrimoine Moderne de urbAgora et militent pour la conservation et la restauration de l’observatoire de Cointe et de son domaine. Ils proposent ici de comprendre l’histoire et les qualités de ce site pour montrer en quoi il mérite une attention poussée de la part des autorités publiques, et de la population.

Photographie : Live From Liège, 2015

1. Les origines et caractéristiques de l’observatoire

Pour comprendre la création de l’observatoire de Cointe en 1881, un plongeon dans le contexte universitaire liégeois s’impose. À cette époque, le bâtiment principal de l’Université de Liège, situé place du XX août, ne permet plus d’accueillir dans des conditions optimales une population estudiantine en plein essor. De plus, l’heure est aux expérimentations scientifiques et ces dernières requièrent des locaux adaptés aux équipements techniques spécifiques. Il est donc aussi nécessaire qu’urgent de construire de nouveaux édifices satisfaisant à ces besoins et intégrant les technologies de pointe développées au cours des décennies précédentes.

En 1879, le ministre Walthère Frère Orban (1812-1896) fait voter un budget afin de doter les deux universités d’État (Gand et Liège) d’une solide manne financière pour favoriser leur développement. L’Université de Liège construit ainsi entre 1881 et 1890 huit instituts scientifiques, nommés Trasenster en l’honneur du recteur de l’époque, Louis Trasenster. Ces constructions sont toutes dédiées à l’étude particulière d’une science et sont établies en divers endroits de la cité :

  • l’Institut de Pharmacie, rue Fusch,
  • l’Institut de Botanique, rue Fusch,
  • l’Institut d’Anatomie, rue de Pitteurs,
  • l’Institut de Physiologie, place Delcour,
  • l’Institut de Zoologie, quai Édouard van Beneden,
  • l’Institut de Chimie, quai Roosevelt,
  • l’Institut électrotechnique Montefiore, rue Saint-Gilles,
  • l’Institut d’Astronomie et d’Astrophysique à l’observatoire de Cointe |1|

Les instituts d’anatomie et de zoologie, de même que l’observatoire de Cointe, furent réalisés par l’architecte liégeois Lambert Noppius (1827-1889). Formé à l’Académie des Beaux-Arts de la ville, celui-ci prend la succession du renommé Jean-Charles Delsaux en 1865 en sa qualité d’architecte provincial et, à ce titre, dirige entre autres les travaux de restauration du prestigieux palais des princes-évêques, tout en intervenant sur de nombreux autres monuments à la demande de l’Administration provinciale |2|. Le recours à cet architecte témoigne donc d’une volonté, de la part de l’Université de Liège, de bénéficier du talent de l’un des praticiens les plus expérimentés et doués de la Cité ardente. Pour le site de l’observatoire de Cointe, l’architecte érige quatre bâtiments distincts : l’observatoire, la maison directoriale, la maison de l’assistant et la conciergerie. Les élévations se composent majoritairement de briques et de pierres de taille à patine grisée homogène, probablement du « petit granit » issu bassin carrier sprimontois, pour les chaînes d’angle |3|, corniches, balcons, bandeaux |4| et encadrements des baies. Les soubassements, quant à eux, font la part belle à une pierre à patine beige-ocrée, apparentée à un grès et disposée en moellons équarris.

Le bâtiment de l’observatoire est le plus monumental du complexe. Il s’articule autour de trois tours et présente un lexique de façade inspiré de la sphère médiévale et, plus particulièrement, de l’architecture civile et militaire des XIIIe-XVIe siècles. Cette inspiration est notamment marquée dans :

  • La composition des baies. Ces dernières sont pourvues de divisions multiples grâce à des traverses et des meneaux. Ces divisions s’effectuent sur la base d’un module identique (soit la répétition d’une même mesure métrique), ce qui permet d’obtenir des ouvertures aux dimensions variées mais néanmoins harmonieuses dans leurs proportions. Enfin, l’on note l’utilisation de linteaux pourvus d’arcs en accolade, souvent qualifiés de « flamboyants » ou « tardo-médiéval » dans la littérature.
  • L’ornement déployé. Ainsi, la modénature (les pierres moulurées) est franchement gothique. Les écussons, quant à eux, sont armoriés selon une pratique courante à l’époque médiévale. De plus, les consoles et les cartouches (des pierres ornementales) sont ornés de crochets et de motifs végétaux en vogue au bas Moyen-Âge. Enfin, l’on remarque la présence de colonnettes et de bandeaux, également abondamment employés à cette époque.
  • La couverture adoptée. Il s’agit ici d’une toiture en bâtière, percée de nombreuses lucarnes ornées de motifs trilobés.
  • Les créneaux et mâchicoulis. Les deux tours principales sont ornées de créneaux, ces fameuses « dents » rectangulaires si caractéristiques de l’image que l’on peut se faire des châteaux-forts. Elles sont aussi pourvues d’une corniche dont le traitement évoque les mâchicoulis, un système défensif en pierre surplombant les maçonneries de l’architecture castrale tardo-médiévale. En outre, cette formule fut abondamment employée dans l’architecture belge carcérale du XIXe siècle (par exemple, l’ancienne prison Saint-Léonard de Liège réalisée par l’architecte Josef Jonas Dumont) mais aussi, à cette même époque, dans l’architecture résidentielle bourgeoise anglaise |5|. L’emploi de ces éléments confère ainsi à l’observatoire de Cointe un charme particulier et permet d’en identifier la physionomie au premier coup d’œil.
  • Les matériaux employés. L’utilisation et l’interaction de briques, de pierres de taille calcaire, de bois et d’ardoises participent d’une évocation matérielle et visuelle médiévale propre à nos régions. Seule l’utilisation des matériaux ferreux tranche par une modernité bienvenue : le cuivre de la coupole, ou encore le fer employé aux balcons, aux portes d’entrées, mais surtout, quoiqu’en partie dissimulé derrière un bardage de lattis, le berceau de la méridienne. L’articulation fonctionnaliste des espaces témoigne elle aussi d’une modernité affirmée ornée d’une parure médiévale. Notons également le marquage aussi original que moderne de l’escalier de la coupole, dont les marches passantes en calcaire apparaissent dans la maçonnerie en briques, de même que la puissance des balcons en forte saillie et des cheminées au design particulier.

Les bâtiments sont implantés dans un vaste parc peuplé de plusieurs arbres centenaires, seul espace public végétalisé au sein du parc résidentiel privé de Cointe. Celui-ci entoure les constructions de plusieurs sous-espaces de pelouses arborées protégées des nuisances de la circulation par un mur d’enceinte.

Le site connait une première salve de modifications dans les années 1930. Certaines parties de l’observatoire (la salle de la méridienne et du grand vertical), précédemment érigées en matériaux périssables (bois), sont reconstruites en briques et pierre calcaire, en cherchant à respecter scrupuleusement l’esprit du projet de la fin du XIXe siècle. Cette opération s’en distingue néanmoins par l’utilisation d’une brique et d’un module de fenêtre différents du bâti primitif. Une seconde salve s’opère en 1962-1963 avec la construction de bâtiments annexes et d’une extension à l’observatoire, abritant un amphithéâtre. Ces derniers présentent nombre des qualités qui ont fait le modernisme liégeois de l’époque, à l’instar du campus du Val Benoît, par exemple : larges bandeaux vitré, escalier monumental, séquences d’entrées travaillées, etc. C’est par ailleurs là un des rares exemples liégeois d’une extension moderniste de qualité d’un bâtiment néo-classique.

2. Utilisation et menace actuelle du site

Depuis le déménagement de l’Université de Liège vers le campus du Sart-Tilman en 2002 et la revente du site à la Région Wallonne, une petite partie de l’observatoire est exploité par la Société Astronomique de Liège. Créée en 1938, elle a pour volonté de faire découvrir le site de Cointe au grand public ainsi qu’aux passionnés. La Société organise également des conférences, des séances d’observations et de nombreuses missions pédagogiques auprès des publics scolaires. Ces activités sont cependant entravées par la vétusté et le manque d’entretien des bâtiments. Seules personnes à veiller sur le site jusqu’à l’embauche récente d’un gardien par la Région, ils sont régulièrement confrontés aux effractions et dégradations, mais aussi aux différents dégâts causés par les intempéries et le vieillissement, sans pouvoir y faire face, faute de moyen. À titre d’exemple, la tour abritant une des lunettes d’observation, laquelle était un des moments forts des visites organisées, est aujourd’hui inaccessible suite aux dégradations de l’escalier la desservant. De même, le grand amphithéâtre où se déroulaient les conférences n’est lui aussi plus accessible, amenant la Société à devoir exploiter les salles lointaines du centre-ville.

En 2008, un premier projet de réaffectation est envisagé : l’installation du service d’archéologie de la Province de Liège (anciennement DGO4, désormais AWaP), mais le projet est abandonné au profit d’une installation sur un site proche du Val-Benoit.

Aujourd’hui, suite à une mobilisation citoyenne de près de 25.000 personnes un dossier de classement de l’observatoire au titre de monument et/ou de site est en cours. Bien que la décision finale échoie au Ministre wallon du Patrimoine, soulignons que l’observatoire de Cointe valide plusieurs critères.

D’un point de vue architectural, il est l’un des premiers témoins de l’expansion de l’Université de Liège au XIXe siècle et est un maillon essentiel des Instituts Trasenster – instituts par ailleurs encore tous présents au sein de la Cité ardente, créant de facto un ensemble homogène dans la trame urbaine liégeoise. En outre, sa réalisation fut confiée à l’une des figures de proue de l’architecture liégeoise du XIXe siècle, Lambert Noppius, dont la carrière et les réalisations gagnent à être connus. L’observatoire allie une typologie rare et particulière (les observatoires du XIXe siècle ne sont pas monnaie courante dans le paysage bâti wallon) à un programme architectural d’une grande qualité. Cette dernière transparaît notamment dans la sélection qualitative des matériaux employés, le soin du décor déployé, dans l’articulation toute subtile des multiples références architecturales choisies, de même que dans l’élan de modernité insufflé à l’édifice, notamment par le biais de la coupole cuivrée, du berceau métallique de la méridienne et du fonctionnalisme des espaces. À ces données s’ajoutent l’originalité et la puissance évocatrice de plusieurs éléments qui octroient à l’édifice un cachet méritoire et impactant : la saillie monumentale des balcons de la coupole, la présence de cheminées particulièrement originales, de même que l’emploi de faux mâchicoulis et de créneaux.

Nous l’avons mentionné, l’extension moderniste possède elle aussi des caractéristiques et dispositions intéressantes d’un point de vue architectural et fonctionnel, en particuliers face aux disparitions de plus en plus nombreuses des ouvrages liégeois de cette époque. De plus, le bâtiment fut le lieu de nombreuses expériences d’astrophysiques et dispose encore aujourd’hui d’un patrimoine scientifique immobilier par destination important en parfait état de fonctionnement, dont les impressionnants télescope et méridienne. Les appareils d’observations et leurs accessoires sauvés par les membres de la Société Astronomique présentent un très bon état de conservation permis par l’entretien régulier et minutieux des différentes machines qui leurs sont accessibles. Le site de l’observatoire conserve encore de nombreux autres appareils astrophysiques significatifs du développement de cette science au cours du XXe siècle. Un inventaire de ces différents appareils est nécessaire et pourrait appuyer la demande de classement du site.

En outre, la préservation de ces structures et leur confirmation en tant que lieu d’apprentissage et de diffusion des savoirs à une époque où explose la demande du grand public en matière de vulgarisation scientifique (cf. les conférences liégeoises sold-out, la vente de livres à succès, de même que des chaînes de vulgarisation francophones cumulant plusieurs millions de membres sur Youtube) apparaît opportune, de même qu’un atout de taille pour l’avenir du quartier de Cointe et la Société Astronomique. Il est par ailleurs utile de rappeler qu’il s’agirait là à la fois de conserver le seul lieu public du parc résidentiel privé de Cointe et d’offrir aux liégeois un espace para-scolaire de qualité capable d’accueillir, entre autres, les différentes structures actuellement hébergées dans des conditions souvent très sommaires |6|. Spacieux, proche de la gare des Guillemins, disposant d’un grand parc arboré et sécurisé, l’observatoire de Cointe apparaît comme un lieu tout indiqué pour y accueillir les classes d’enfants et d’adolescents, mais aussi les familles désireuses de passer une après-midi ou une journée de découverte de l’histoire et de la culture scientifique.

Enfin, rappelons que la sauvegarde de ce monument tient à cœur à la population liégeoise, comme le prouve l’important fonds photographique accumulé depuis la création du bâtiment (on le retrouve sur de nombreuses cartes postales dès la fin du XIXe siècle, instrument de promotion essentiel pour le tourisme de l’époque), mais surtout, la pétition lancée en ligne en octobre 2017 qui a cumulé près de 25 000 signatures et aujourd’hui encore, en gagne encore quotidiennement.

3. Un avenir incertain… et menacé !

Afin d’en apprendre plus sur l’observatoire de Cointe, une étude historique plus approfondie est nécessaire. Cette dernière comprendrait l’analyse des sources écrites ainsi qu’une étude archéologique du bâti. Bien que l’extérieur du bâti présente un excellent état de conservation – en dehors des toitures des tours et de la méridienne qui nécessitent une restauration et une remise en état –, un diagnostic sanitaire effectué à l’intérieur des différents bâtiments est indispensable. La Société Astronomique de Liège a notamment signalé la présence de mérule. Ce champignon se propage rapidement et est dévastateur. Une intervention rapide afin de limiter son expansion serait donc nécessaire dans les plus brefs délais pour ne pas compromettre la qualité des bâtiments, de ses menuiseries et plus encore, de certaines de ses structures.

De plus, même si la Région n’a pas encore précisé ses intentions quant au site, des bruits de couloir font vent de l’implantation de plusieurs villas dans son parc, rasant au passage une partie des bâtiments, dont l’extension moderniste, et mettant fin au rôle publique et pédagogique qu’a toujours occupé le site de l’observatoire. Face aux différents arguments avancés et au contexte du parc résidentiel privé de Cointe (de nombreux propriétaires sont aujourd’hui confrontés à des surfaces et des coûts immobiliers excédentaires pour peu de repreneurs potentiels capables d’en assumer la charge), un tel projet semble largement inutile et en tous cas dommageable pour le site de qualité qu’est l’observatoire de Cointe.

Nous nous réjouissons que Monsieur le Ministre ait pris l’initiative de commander une étude de classement du bâtiment principal de l’observatoire. Pour autant, il est important de souligner que tant le parc du site, avec ses arbres remarquables, que l’extension moderniste, d’une architecture de qualité et aux espaces opportuns à bien des activités, font partie intégrante de la qualité de ce site et doivent être traités comme tels, pour assurer la pérennité de la cohérence de l’ensemble. Nous espérons que sa décision sera en adéquation avec les nombreuses opportunités que l’observatoire présente. Plus encore, nous espérons que face au contexte de privatisation grandissante du secteur immobilier, la Région, à défaut de conserver la propriété de ce site, impose des conditions qualitatives et programmatiques à sa revente pour qu’y soit développé un projet public ou para-public capable de mettre en avant toutes les qualités de ce lieu.

Bibliographie

Baudry Antoine, Le chantier de restauration à Liège de 1830 à 1914 : enjeux techniques, économiques et humains, thèse de doctorat en Histoire, Histoire de l’Art et Archéologie, Université de Liège (en cours, titre provisoire).

Charlier Sébastien, Noppius, Lambert, in Van Loo Anne (dir.), Dictionnaire de l’architecture en Belgique de 1830 à nos jours, Antwerpen : Fonds Mercator, 2003, p. 434-435.

Le patrimoine monumental de la Belgique, volume 3, Province de Liège, Liège : Solédi, 1974.

Dierkens-Aubry Françoise & Vandenbreeden Jos, Le XIXe siècle en Belgique, architecture et intérieurs, Bruxelles : Racine, 1994 (Architecture en Belgique).

Halmes Brigitte, Le patrimoine du quartier de Cointe à Liège, Carnet du patrimoine 148, Namur : IPW, 2017

Granata Veronica & Raxhon Philippe, Mémoire et Prospective. Université de Liège (1817-2017), Liège : Presses Universitaires de Liège / Collection Patrimoine, 2017.

Mathieu Clémence, Un aspect de la culture de l’habitat du groupe inférieur de la noblesse : la défense, mythe ou réalité ?, dans Chantinne Frédéric et alii (éd.), Trulla et cartae. De la culture matérielle aux sources écrites. Liber discipulorum et amicorum in honorem Michel de Waha, Bruxelles : le livre Timperman, s.d., p. 361-384.

Vers la modernité. Le XIXe siècle au Pays de Liège, 2001, Liège (cat. exp. Liège, Musée de l’Art wallon-Salle Saint-Georges, 5/10/2001-20/01-2002).

|1| Granata Veronica & Raxhon Philippe, Mémoire et Prospective. Université de Liège (1817-2017), Liège : Presses Universitaires de Liège / Collection Patrimoine, 2017, p. 62

|2| Charlier Sébastien, Noppius, Lambert, in Van Loo Anne (dir.), Dictionnaire de l’architecture en Belgique de 1830 à nos jours, Antwerpen : Fonds Mercator, 2003, p. 434-435

|3| Une chaîne d’angle est une superposition de blocs marquant et renforçant l’angle d’un bâtiment. Elle peut être constituée de matériaux différents ou similaires du reste de l’élévation.

|4| Un bandeau est un alignement de pierres de faible hauteur marquant horizontalement l’élévation d’un bâtiment.

|5| Mathieu Clémence, Un aspect de la culture de l’habitat du groupe inférieur de la noblesse : la défense, mythe ou réalité ?, dans Chantinne Frédéric et alii (éd.), Trulla et cartae. De la culture matérielle aux sources écrites. Liber discipulorum et amicorum in honorem Michel de Waha, Bruxelles : le livre Timperman, s.d., p. 361-384.

|6| A titre d’exemple, les Jeunesses Musicales de Liège sont, depuis de nombreuses années hébergées dans des préfabriqués peu adaptés à leurs activités.

Cette publication est éditée grâce au soutien du ministère de la culture, secteur de l'Education permanente

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